vendredi 18 janvier 2013
Pilote de ligne... quelques heures
J’ai découvert qu’il était possible de se prendre pour un pilote de ligne, le temps de quelques heures, aux commandes d’un avion de ligne. Il s’agit en réalité d’un simulateur, mais professionnel, qui permet de ressentir toutes les sensations du pilotage d’un avion. En effet, Il est tout à fait faisable de piloter un Airbus en simulateur de vol pro. Cette activité incroyable est vécue dans un centre de qualification des pilotes professionnels à Paris. Ces personnel navigant vont après œuvrer pour les compagnies aériennes. Les simulateurs de vol sont des chefs d’œuvre de techniques, mus par des vérins électriques, qui recréent exactement les mouvements d’un avion de ligne. Cette activité est particulièrement prisée par les passionnés d’aviation, mais également par les personnes qui souhaitent discerner la profession de pilote d’avion. Les candidats sont accueillis par un qualifiant airbus sur le centre école. Un court briefing de trente minutes est prodigué puis débute la séance de simulateur. Le particulier peut sélectionner son lieu de départ et son point d’arrivée. Le candidat pourra aussi créer les conjonctures climatiques comme les problèmes qui peuvent survenir pendant le vol. Les férus de simulation aiment. Cependant pareillement les personnes qui ont peur en avion. Certaines personnes ont peur en avion faute d’une mauvaise expérience de vol. Quelques-uns ont ressenti des perturbations difficiles, comme certaines situations encore plus insupportables telle qu’ être touché par la foudre en cours de vol, ou aussi un phénomène de dépressurisation. Toute condition en vol épouvantable induit une frayeur du prochain envol. Avec le but de se mesurer contre cette phobie et cette peur du vol. Les simulateurs sont utilisés par les instructeurs pour proposer des stages antistress pour affronter contre la peur en avion. Ces cours sont faites sur mesure et proposés à l’individu pour une meilleure efficacité. Le training de trois h permet au prétendant de comprendre l’aérodynamique d’un aéronef et de se placer en position, face aux commandes d’un avion de ligne. Epaulé d’un psychologue, la personne affronte ses frayeurs afin de mieux les comprendre et les surmonter. Les simulateurs présentés sont des Airbus 320 et simulateurs Boeing. La méthode de piloter l’A320 et le simu B737 sont distinctes. La technicité de pilotage Airbus est recentrée sur le joystick – vous lancez une impulsion sur le manche et l’aéronef va garder la position qui vient de lui être donnée, sans maintenir l’angle d’attaque sur le joystick. Ceci est occasionnellement déroutant pour un pilote. A l’inverse, le simu Boeing continue une perception de vol classique. Le joystick est régulier, et il faut maintenir l’angle d’attaque sur le joystick pour maintenir l’attaque ou l’attaque de l’aéroplane. Pour chercher de la hauteur, vous tirez sur le manche, et il convient de maintenir cette attitude pour continuer à monter. A l’opposé sur le simu Airbus, vous donnez un angle d’altitude, et vous pouvez abandonner le manche à balai. L’avion conserve sa montée. Pour ramener l’angle, vous devrez ainsi opérer sur le joystick pour ravoir l’angle initial. Il n’existe pas de choix accompli pour votre simu B737, cela dépend des envies des participants. Dans tous les cas, la pratique en simulateur de vol professionnel est spéciale. Pour en savoir plus : Simulateur de vol.
De l'importance du hall d'entrée
De l’importance du hall d’entrée. Peu de personnes ont une opinion sur les halls d’hôtels. La qualité du restaurant, le confort des lits, la sérénité du spa, l'histoire ou le service, tels sont les facteurs importants pour lesquels on qualifie l’expérience d’un hôtel. Mais quelques invités considérent le faste et la gloire de l'entrée comme des critères tout aussi important. Le hall d'accueil est la première impression. C'est la partie de l'hôtel qui peut provoquer, en alternance, un soupir d'émerveillement ou un halètement d'alarme, si le style est vieux comme le monde ou contemporaine, créatif ou classique. Ainsi Mr Holtman, directeur général du Meurice à Paris a fait appel à Philippe Starck pour moderniser le bâtiment du 19ème siècle. Le designer s'est inspiré de Salvador Dalí, l'un des habitués célèbres de l'hôtel. La refonte combinait le raffinement, le glamour parisien classique, le marbre et des antiquités du 18ème avec des moments de fantaisie surréaliste, comme une énorme toile d'inspiration Dalí dans les pieds des chaises du restaurant qui sont équipées de talons hauts de chaussures de femmes. A Amangiri en Utah, à proximité du Grand Canyon, un hall hybride avec une grande "pièce à vivre" accueille le visiteur. L'approche maximise la vue imprenable sur le Grand Staircase-Escalante National Monument et sur le désert. Le hall de l'Hôtel Four Seasons Gresham Palace Budapest, construit comme l'entrée de Gresham Palace en 1903 et, plus tard divisée en appartements sous la domination communiste hongroise. Le bâtiment a depuis été restauré avec soin. Le lobby est grand, avec une voûte coupole spectaculaire, des vitraux, un sol en mosaïque, qui témoigne à la fois de la richesse de l'histoire de la structure et la splendeur de son incarnation actuelle. Le hall d’un hôtel, vous l’aurez compris, est donc important pour moi. Il se compare facilement à la qualité d’une paire de chaussure d’une personne que l’on rencontre pour la première fois. Je vous invite à découvrir des hôtels avec des halls magnifique sur le blog spécialiste : les plus beaux hôtels du monde.
jeudi 3 janvier 2013
Bienvenue chez moi
Je viens du nord, du grand nord, celui qui plonge le monde dans la nuit pendant six mois, et qui nous révèle la lumière avec ses aurores... Bienvenue en Islande. Je vous parlerai de mon pays au fur et à mesure que j'avance dans ce petit blog. En attendant profitez de la beauté des paysages...
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