vendredi 6 septembre 2019

Savoir jouer en cuisine

Des cours de cuisine, j'en ai suivi un paquet au cours des années. Ca a commencé un peu bêtement. Ma chère et tendre trouvait un peu ennuyeux que je cuisine systématiquement les mêmes choses : elle m'a donc offert un cours de cuisine. L'aventure était intéressante, et mes nouveaux talents culinaires ont beaucoup plu à ma femme. Alors elle m'en a offert un deuxième. Et c'est c'est devenu une tradition. Depuis, elle m'offre des cours de cuisine chaque fois qu'elle trouve un cours dont le menu lui plaît.Un système gagnant-gagnant (un vrai). J'en ai donc testé un sacré paquet. Certains n'ont pas été des succès. Certains m'ont semblé sans fin. Quand ça arrivait, le problème est dû à la personnalité des chefs qui étaient en charge de l'animation. Ils sont pas toujours mous du genou, et ils n'ont pas nécessairement enclins à enseigner leurs petits trucs pratiques. Certains semblent vouloir terminer le cours vite fait bien fait pour que tout le monde reparte avec son menu. Il m'est arrivé d'avoir l'impression déplaisante de m'être fait avoir une fois dehors . Voilà pourquoi je veux revenir aujourd'hui sur le dernier cours que j'ai réalisé, un cours de cuisine du côté de   que j'ai beaucoup aimé. L'ambiance était vraiment joviale, mais ça, ça n'a rien de particulier. Je n'ai assisté qu'à  un seul atelier où le climat était éprouvante, et ce n'était pas même responsable, mais à un couple qui a décidé de rompre au beau milieu du cours ! Ce que j'ai vraiment apprécié lors de ce cours, c'est la frénésie dont faisait preuve le chefdès qu'il était question de la cuisine, mais aussi pour dispenser ses trucs. Lorsqu'un chef joue le jeu pour partager ses trucs de chef, ça se sent directement. Si vous n'avez jamais testé, je vous invite chaudement de tester ce cours de cuisine à  . C'est de loin l'un des meilleurs que j'ai eu l'occasion de suivre. Davantage d'information est disponible sur le site de l'organisateur de ce atelier de cuisine 
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lundi 2 septembre 2019

Quand l'Angleterre dit au revoir

Il y a quelques jours, je me suis rendu à Manchester pour y participer à un incentive durant lequel mes collègues et moi avons largement commenté les résultats du Brexit. La victoire des eurosceptiques a fait l'effet d'un séisme économique dont on peine encore aujourd'hui à comprendre l'ampleur de cet événement. Ce dont je suis convaincu, c'est que les anglais vont payer le prix de leur "liberté". Cependant, à force de parler avec certains de mes collègues que je me suis aperçu que les gens  sont clairement passés à côté de ce qui s'est véritablement joué. Ils estiment que le Royaume a été un énième victime du populisme, et que ce sont les ouvriers britanniques qui ont plébiscité cette sortie. Mais cette idée est tout à fait erronée : si l'on se penche sur les chiffres, cette explication est démentie par les faits. Beaucoup d'électeurs disposant d'un statut social élevé ont choisi le Brexit par volonté de clôturer les frontières. Les résultats révèlent que ce référendum s'est conclue sur une seule question : l'immigration. Et ce n'est rien de surprenant. Après tout, c'est ce thème qui impose sa marque sur la plupart des élections du monde occidental, des Etats-Unis en Allemagne, en passant par le Royaume-Uni. Les chiffres prouvent que lors de ce référendum, ce sont les gens les plus exposées à une culture universelle qui ont voté pour le Remain ; et que très logiquement, ce sont les autres qui ont voté pour le repli nationaliste. Depuis le vote, des tags prônant l'expulsion des polonais sont même apparus sur certaines vitrines. Il n'y a donc en rien un vote des élites versus peuple, comme beaucoup trop de journalistes l'ont présenté. Les citoyens anglais, quel que soit leur statut social, ont fait le choix de vivre seuls sur leur île plutôt que de vivre dans un monde fortement empreint d'immigration. Marine Le Pen n'a rien d'une ouvrière, pas plus que Boris Johnson. En dépit de des discussions un peu agités sur les années à venir, j'ai trouvé  cet incentive . D'ailleurs, je vous mets en lien l'agence qui  : j'ai notamment été séduit par la qualité des animations que l'Angleterre et ses déboires ont bien vite été oubliées. Davantage d'information est disponible sur le site de l'agence de agence de voyage entreprise. Suivez le lien.

Voyager en Arabie

Avant toute chose, il est important pour tout voyageur de prendre en compte qu'en Arabie saoudite, la foi islamique est religion d'Etat. La Mecque, qui accueille le pélerinage du Hadj, est de très loin le plus grand récipiendaire du tourisme en Arabie Saoudite. Les villes de Riyad et de Djeddah commencent à s'ouvrir aux visiteurs étrangers. Depuis l'Arabie Saoudite, on peut également facilement se rendre à Bahrein, pays voisin où l'alcool et les cinémas sont autorisés et où la contrainte vestimentaire est moindre. On pourrait penser que l'Arabie Saoudite, de par son climat aride et ses déserts secs, serait dépourvue de faune et de flore. Il existe pourtant une trés grande diversité d'êtres vivants peuplant ses terres. Ces animaux et ces plantes ont bien sûr dû s'adapter à la rigueur du climat. Aujourd'hui, encore un très grand nombre d'espèces n'ont pas été étudiées, notamment dans les régions les plus désertiques. La Région du sud est la plus accueillante en la matière : ses pluies permettant à nombre d'espèces de se développer.