mardi 19 juin 2018

Pouvoir voler en simulateur

Beaucoup croient que les simulateurs de vol sont des outils efficaces dans l'enseignement des pilotes pour monter un avion, mais ils se trompent. Les programmes de simulateurs de vol Pro peuvent sembler efficaces au début, mais ils ne disposent pas des applications et des programmes de formation adéquats dont un pilote aurait besoin. Avant d'aborder le fonctionnement du programme, il faut d'abord savoir certaines choses. Le programme de simulateur de vol professionnel est conçu pour ressembler à la vraie affaire. Il s'agit d'un monde virtuel modélisé très similaire au monde réel avec des points de repère et différents types de terrains tels que les montagnes et les champs, tous alimentés par un outil étonnant appelé le programme Google Map. Bien que ce soit juste un jeu, les utilisateurs ressentiraient l'exactitude de l'interface graphique dans le jeu ainsi que la façon dont les éléments affecteraient le joueur. Certains acheteurs, que l'on trouve dans les sites de critiques sur les simulateurs de simulations, ont indiqué que les joueurs seraient capables de ressentir la pression d'un avion lors d'une journée chaude et ensoleillée, ainsi que de voler dans des cieux venteux et pluvieux. Puisque le programme est basé sur un monde en temps réel, les utilisateurs pourraient non seulement choisir la météo de leur choix mais aussi le paysage. Ce serait génial, surtout pour ceux qui veulent plus de leurs simulations. Selon une revue de simulateur de vol Pro, les utilisateurs sont autorisés à sélectionner le type de plaine qu'ils utiliseraient. Les modèles des avions sont en réalité basés sur de vraies plaines et modèles. Il existe plus d'une centaine de types d'avions disponibles pour les utilisateurs et il y a plus d'ajouts à chaque fois. Les avions supplémentaires seraient partagés à travers les mises à jour réseau données par les programmeurs du logiciel. Les avions virtuels seraient alors capables de survoler 20 000 types d'aéroports et plus d'une centaine de types de trafic engendrés par d'autres avions commerciaux. Cependant, autant que le succès de ce programme, il y aurait aussi un inconvénient. L'utilisation de ce programme n'a rien à voir avec l'utilisation d'un avion de la vie réelle. Les utilisateurs ne pourraient que ressentir comment piloter un avion, mais ils ne seraient pas en mesure d'apprendre les bases de l'avion. Mis à part la partie volante, les utilisateurs ne seraient pas non plus capables de sentir comment démarrer et décoller un avion puisque chaque type d'avion a un type de collecteur de contrôle différent. Cela signifie que chaque vol serait vraiment différent. Certains examens de simulateurs de proflight prétendent que l'application de logiciel ne ferait que confondre l'utilisateur puisque les utilisateurs penseraient que le contrôle pour un accord est très semblable à Migs. Dans l'ensemble, le programme de simulateur de vol Pro n'est efficace qu'à des fins de divertissement et non pour la formation au pilotage. Le programme serait en mesure d'enseigner aux utilisateurs comment piloter un avion dans certaines conditions ainsi que sur la façon dont chaque vol sur des terrains différents se sentirait encore, mais il n'éduquerait pas les utilisateurs sur la façon de vraiment piloter un avion. Pour les sites Web qui prétendent encore que ce programme est très efficace, ils pourraient être juste un pro sites escroquerie simulateur de vol. Pour plus d'informations, je vous suggère la lecture du blog sur cette expérience de vol en simulateur à Paris qui est très bien fait sur le sujet.

jeudi 7 juin 2018

Domicile / Handicap : une vigilance particulière

A domicile, l’accompagnement des personnes handicapées repose essentiellement sur les aidants particulièrement en situation de fin de vie. Or, le secteur de l’aide à domicile est parcellisé avec un manque de professionnalisation des auxiliaires de vie, et ce d’autant plus que le secteur est peu attractif (conditions de travail et de rémunération, turn-over, charge émotionnelle, ….). Il est donc fondamental d’impulser un plan de formation volontariste à destination des professionnels de l’aide à domicile sur le handicap en général et plus spécifiquement sur la fin de vie. De plus, une plus grande supervision de leur travail et de ce qu’ils vivent dans ce cadre devrait être développée. Dans la mesure où une majorité de personnes handicapées vivent à domicile et non en établissements médico-sociaux, leur fin de vie nécessite un accompagnement particulier. Le recours à l’HAD constitue une réponse appropriée à développer, d’autant qu’il permet une coordination des intervenants qui est trop souvent aujourd’hui assurée par les aidants eux-mêmes, une intervention 24h/24, ainsi que le financement de médicaments relevant de la réserve hospitalière et qui sont souvent nécessaires pour accompagner une fin de vie ( antidouleur, corticoïdes, matériels paramédicaux…). Il est également préconisé un développement des SSIAD, en particulier sur les « zones blanches » en termes géographiques, c'est-à-dire dépourvues de tout service, mais également une adaptation des services existant en terme de plages d’ouverture afin d’obtenir une plus grande souplesse d’intervention (week-end, fin de journée… ) avec un financement ajusté aux situations de fin de vie.